1951, débordé par l’offensive communiste en Corée, l’état-major américain donne ordre au Lieutenant Gibbs de couvrir la retraite d’une armée de 15 000 hommes. Pour y parvenir, il doit tenir une colline avec 48 soldats en donnant à l’ennemi l’illusion du nombre, dans le froid et un terrain difficile…
Un jardinier quinquagénaire prénommé Chance, homme naïf et simple, coule une vie sans heurts à prendre soin du jardin d'une calme propriété de Washington. Il vit quasiment retiré du monde, ne sort jamais, n'est jamais monté dans une automobile et sa seule distraction est la télévision, qu'il contemple avec assiduité et fascination. Obligé de quitter cette maison et cette activité à la suite du décès de son employeur, Chance est heurté, dans la rue, par un véhicule dont la propriétaire, Eve Rand, l'accueille à son domicile pour lui faire prodiguer des soins. Chance se lie avec Benjamin Rand, le mari, qui, peu après, reçoit la visite du président des États-Unis. Chance prend part à l'entretien et ce avec un tel naturel que ses phrases, distillées comme des proverbes de sagesse mais, en réalité, orientées jardinage, vont être prises pour de véritables oracles. Il va ainsi devenir la coqueluche du pouvoir et des médias.
Pour soustraire ses enfants Annette et Norman à l'influence de son mari dont elle est séparée, Julia Sturges décide de les emmener à bord du paquebot Titanic. Son mari Richard parvient à embarquer au dernier moment pour récupérer ses enfants. Ils rencontrent d'autres passagers comme Maud Young, une jeune femme fortement inspirée de Margaret Brown, Gifford Rogers, un jeune joueur de tennis qui tombe rapidement amoureux de la jeune Annette et George S. Headley, un prêtre suspendu pour alcoolisme.